C O N C E R T S 2 0 1 6
Entrées libre
Dimanche 12 Juin 2016, 18 heures
Thierry ESCAICH
« La Passion de Jeanne d'Arc »
Film muet réalisé par Carl Theodor Dreyer en 1927
retransmis sur écran géant
Compositeur, organiste et improvisateur, Thierry Escaich est une figure unique de la scène musicale contemporaine et l’un des représentants majeurs de la nouvelle génération de compositeurs français. Les trois aspects de son art sont indissociables, ce qui lui permet mêler dans ses concerts création, improvisation et interprétation dans les combinaisons les plus diverses.Comme compositeur, Escaich aborde les genres et les effectifs les plus variés, dans une quête incessante de nouveaux horizons sonores. Son œuvre comporte une centaine de pièces, qui séduisent un large public par leur lyrisme incandescent et leur rythme implacable. Se situant dans la lignée de Franck, Messiaen ou Dutilleux, et ne refusant pas les apports des musiques populaires ou les éléments d’inspiration sacrée, la musique d’Escaich témoigne avant tout d’un sens puissant de l’architecture formelle qui plonge l’auditeur au cœur d’une superposition de mondes sonores insolites.
Son style si personnel transparaît aussi bien dans l’intimité de sa musique de chambre que dans de vastes fresques comme Chaconne pour orchestre, l’oratorio Le Dernier Évangile ou le double concerto pour violon et violoncelle Miroir d’ombres. En 2010, Thierry Escaich a composé un ballet pour le New York City Ballet. Son premier opéra, Claude, sur un livret de Robert Badinter d’après Claude Gueux de Victor Hugo, a été créé à l’Opéra national de Lyon en mars 2013 et a reçu les éloges de la critique. Parmi ses compositions les plus récentes, citons un concerto pour violoncelle pour Emmanuelle Bertrand, un concerto pour orchestre pour l’Orchestre de Paris (inauguration de la Philharmonie) et un double concerto pour Lisa Batiashvili et François Leleux, co-commande du NDR Sinfonieorchester Hamburg et du New York Philharmonic.
Thierry Escaich a beaucoup composé pour son propre instrument : pièces solistes, musique de chambre, deux concertos, et La Barque solaire, poème symphonique pour orgue et orchestre. Son Concerto pour orgue n° 1 a été joué notamment par le Philadelphia Orchestra et l’Orchestre national de Lyon, et a été sélectionné comme un incontournable du répertoire d’orgue par le magazine Gramophone : « Son concerto exploite toute la palette sonore et l’orchestre et de l’orgue en trois mouvements électrisants, le second mouvement enflant jusqu’à un sommet impressionnant, qui n’est surpassé que par la fracassante coda du finale. » (Gramophone, septembre 2014).
Ses pièces sont inscrites au répertoire des plus grands orchestres aussi bien en Europe qu’aux États-Unis, et à celui de musiciens tels que Lisa Batiashvili et François Leleux, Valery Gergiev, Lothar Zagrosek, Renaud and Gautier Capuçon, Paul Meyer, John Mark Ainsley ou le Quatuor Voce. Il a été compositeur en résidence à l’Orchestre national de Lyon, à l’Orchestre national de Lille et à l’Orchestre de chambre de Paris. Sa musique a reçu trois Victoires de la musique (2003, 2006 et 2011). Il enseigne depuis 1992 l’improvisation et l’écriture au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP), où il a remporté lui-même huit premiers prix. En 2013, il a été élu à l’académie des Beaux-Arts de l’Institut de France.
Sa carrière de compositeur est étroitement liée à celle d’organiste, à l’instar de Maurice Duruflé – auquel il a succédé comme organiste titulaire de Saint-Étienne-du-Mont à Paris ; il est aujourd’hui l’un des principaux ambassadeurs de la grande école française d’improvisation. Il se produit en récital dans le monde entier, mêlant les œuvres du répertoire à ses propres compositions et à des improvisations. Sa passion pour le cinéma l’amène à improviser régulièrement au piano comme à l’orgue sur des films muets tels que Le Fantôme de l’Opéra et Metropolis.
Parmi les événements marquants de la saison 2015/2016, signalons ses débuts avec les Berliner Philharmoniker, et d’autres concerts en soliste avec l’Orchestre du Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg, l’Orchestre de Paris, le Royal Scottish National Orchestra et le Cincinnati Symphony. En récital, il se produit dans le monde entier, notamment aux BBC Proms et au Royal Festival Hall (Londres), au San Francisco Symphony Hall, au Théâtre Mariinski, et il improvise sur des films muets à la Maison symphonique de Montréal, à la Philharmonie de Paris et à l’Auditorium de Lyon. Au nombre de ses créations figurent un nouveau concerto pour orchestre pour le Cincinnati Symphony, une pièce de chambre pour le Great Mountains Music Festival (Corée du Sud) et Litanies pour un jubilé, pour chœur, orgue et ensemble, pour le millénaire de la cathédrale de Strasbourg.
Les différentes facettes de son art s’illustrent dans une discographie abondante, largement récompensée et publiée notamment chez Accord/Universal et Indésens ; son disque Les Nuits hallucinées (2011), qui couronne sa résidence auprès de l’Orchestre national de Lyon, a reçu de nombreuses distinctions, notamment un « Choc de l’année » de Classica. Plus récemment, la création mondiale de Claude à l’Opéra de Lyon a été publiée en DVD.
Thierry ESCAICH
« La Passion de Jeanne d'Arc »
Film muet réalisé par Carl Theodor Dreyer en 1927
retransmis sur écran géant
Compositeur, organiste et improvisateur, Thierry Escaich est une figure unique de la scène musicale contemporaine et l’un des représentants majeurs de la nouvelle génération de compositeurs français. Les trois aspects de son art sont indissociables, ce qui lui permet mêler dans ses concerts création, improvisation et interprétation dans les combinaisons les plus diverses.Comme compositeur, Escaich aborde les genres et les effectifs les plus variés, dans une quête incessante de nouveaux horizons sonores. Son œuvre comporte une centaine de pièces, qui séduisent un large public par leur lyrisme incandescent et leur rythme implacable. Se situant dans la lignée de Franck, Messiaen ou Dutilleux, et ne refusant pas les apports des musiques populaires ou les éléments d’inspiration sacrée, la musique d’Escaich témoigne avant tout d’un sens puissant de l’architecture formelle qui plonge l’auditeur au cœur d’une superposition de mondes sonores insolites.
Son style si personnel transparaît aussi bien dans l’intimité de sa musique de chambre que dans de vastes fresques comme Chaconne pour orchestre, l’oratorio Le Dernier Évangile ou le double concerto pour violon et violoncelle Miroir d’ombres. En 2010, Thierry Escaich a composé un ballet pour le New York City Ballet. Son premier opéra, Claude, sur un livret de Robert Badinter d’après Claude Gueux de Victor Hugo, a été créé à l’Opéra national de Lyon en mars 2013 et a reçu les éloges de la critique. Parmi ses compositions les plus récentes, citons un concerto pour violoncelle pour Emmanuelle Bertrand, un concerto pour orchestre pour l’Orchestre de Paris (inauguration de la Philharmonie) et un double concerto pour Lisa Batiashvili et François Leleux, co-commande du NDR Sinfonieorchester Hamburg et du New York Philharmonic.
Thierry Escaich a beaucoup composé pour son propre instrument : pièces solistes, musique de chambre, deux concertos, et La Barque solaire, poème symphonique pour orgue et orchestre. Son Concerto pour orgue n° 1 a été joué notamment par le Philadelphia Orchestra et l’Orchestre national de Lyon, et a été sélectionné comme un incontournable du répertoire d’orgue par le magazine Gramophone : « Son concerto exploite toute la palette sonore et l’orchestre et de l’orgue en trois mouvements électrisants, le second mouvement enflant jusqu’à un sommet impressionnant, qui n’est surpassé que par la fracassante coda du finale. » (Gramophone, septembre 2014).
Ses pièces sont inscrites au répertoire des plus grands orchestres aussi bien en Europe qu’aux États-Unis, et à celui de musiciens tels que Lisa Batiashvili et François Leleux, Valery Gergiev, Lothar Zagrosek, Renaud and Gautier Capuçon, Paul Meyer, John Mark Ainsley ou le Quatuor Voce. Il a été compositeur en résidence à l’Orchestre national de Lyon, à l’Orchestre national de Lille et à l’Orchestre de chambre de Paris. Sa musique a reçu trois Victoires de la musique (2003, 2006 et 2011). Il enseigne depuis 1992 l’improvisation et l’écriture au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris (CNSMDP), où il a remporté lui-même huit premiers prix. En 2013, il a été élu à l’académie des Beaux-Arts de l’Institut de France.
Sa carrière de compositeur est étroitement liée à celle d’organiste, à l’instar de Maurice Duruflé – auquel il a succédé comme organiste titulaire de Saint-Étienne-du-Mont à Paris ; il est aujourd’hui l’un des principaux ambassadeurs de la grande école française d’improvisation. Il se produit en récital dans le monde entier, mêlant les œuvres du répertoire à ses propres compositions et à des improvisations. Sa passion pour le cinéma l’amène à improviser régulièrement au piano comme à l’orgue sur des films muets tels que Le Fantôme de l’Opéra et Metropolis.
Parmi les événements marquants de la saison 2015/2016, signalons ses débuts avec les Berliner Philharmoniker, et d’autres concerts en soliste avec l’Orchestre du Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg, l’Orchestre de Paris, le Royal Scottish National Orchestra et le Cincinnati Symphony. En récital, il se produit dans le monde entier, notamment aux BBC Proms et au Royal Festival Hall (Londres), au San Francisco Symphony Hall, au Théâtre Mariinski, et il improvise sur des films muets à la Maison symphonique de Montréal, à la Philharmonie de Paris et à l’Auditorium de Lyon. Au nombre de ses créations figurent un nouveau concerto pour orchestre pour le Cincinnati Symphony, une pièce de chambre pour le Great Mountains Music Festival (Corée du Sud) et Litanies pour un jubilé, pour chœur, orgue et ensemble, pour le millénaire de la cathédrale de Strasbourg.
Les différentes facettes de son art s’illustrent dans une discographie abondante, largement récompensée et publiée notamment chez Accord/Universal et Indésens ; son disque Les Nuits hallucinées (2011), qui couronne sa résidence auprès de l’Orchestre national de Lyon, a reçu de nombreuses distinctions, notamment un « Choc de l’année » de Classica. Plus récemment, la création mondiale de Claude à l’Opéra de Lyon a été publiée en DVD.
Dimanche 24 juillet, 18 heures
Kurt LUEDERS
Vice-président de l’Association Aristide Cavaillé-Coll
Originaire de l’état du Nouveau-Mexique (USA), Kurt LUEDERS fait ses principales études musicales à l’Université de Yale, où il obtient une licence avec honneurs. Il vient ensuite étudier l’orgue à Paris avec Maurice Duruflé, Edouard Souberbielle et André Fleury, et la direction chorale avec Stéphane Caillat (diplôme de virtuosité à la Schola Cantorum, diplôme de chef de chœur et brevet d’écriture à l’Institut de Musique Liturgique de Paris).
Docteur en musicologie sur la vie et l’œuvre d’Alexandre Guilmant (1837-1911). Spécialiste de l’orgue et du répertoire organistique du XIXè siècle, Kurt LUEDERS a publié des articles et donné de nombreux concerts, conférences et cours dans plusieurs pays d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud ainsi qu’au Japon. Il a contribué notamment aux éditions révisées des célèbres encyclopédies The Revised New Grove’s Dictionary of Music et Musik in Geschichte und Gegenwart. Sa participation à un coffret de sept disques consacré à l’œuvre du principal facteur français du XIXè siècle (l’orgue Cavaillé-Coll, Motette M 10760) a été particulièrement remarquée dans le monde de l’orgue, et ses rééditions de musique injustement oubliée du XIXè siècle ont enrichi le répertoire courant des organistes.
Kurt LUEDERS s’est également attaché à faire revivre la musique d’harmonium, donnant de nombreux concerts de musique originale pour cet instrument foncièrement romantique, avec notamment des œuvres de musique de chambre de Saint-Saëns, Gounod, Widor, Guilmant … Il assure depuis 1978 la vice-présidence de l’Association Aristide Cavaillé-Coll ainsi que celle de rédacteur de la revue spécialisée La Flûte Harmonique. Il enseigne actuellement au Conservatoire de Plaisir (Yvelines) et comme chargé de cours à l’Université de Paris-Sorbonne (UFR de Musique et Musicologie).
Kurt LUEDERS
Vice-président de l’Association Aristide Cavaillé-Coll
Originaire de l’état du Nouveau-Mexique (USA), Kurt LUEDERS fait ses principales études musicales à l’Université de Yale, où il obtient une licence avec honneurs. Il vient ensuite étudier l’orgue à Paris avec Maurice Duruflé, Edouard Souberbielle et André Fleury, et la direction chorale avec Stéphane Caillat (diplôme de virtuosité à la Schola Cantorum, diplôme de chef de chœur et brevet d’écriture à l’Institut de Musique Liturgique de Paris).
Docteur en musicologie sur la vie et l’œuvre d’Alexandre Guilmant (1837-1911). Spécialiste de l’orgue et du répertoire organistique du XIXè siècle, Kurt LUEDERS a publié des articles et donné de nombreux concerts, conférences et cours dans plusieurs pays d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud ainsi qu’au Japon. Il a contribué notamment aux éditions révisées des célèbres encyclopédies The Revised New Grove’s Dictionary of Music et Musik in Geschichte und Gegenwart. Sa participation à un coffret de sept disques consacré à l’œuvre du principal facteur français du XIXè siècle (l’orgue Cavaillé-Coll, Motette M 10760) a été particulièrement remarquée dans le monde de l’orgue, et ses rééditions de musique injustement oubliée du XIXè siècle ont enrichi le répertoire courant des organistes.
Kurt LUEDERS s’est également attaché à faire revivre la musique d’harmonium, donnant de nombreux concerts de musique originale pour cet instrument foncièrement romantique, avec notamment des œuvres de musique de chambre de Saint-Saëns, Gounod, Widor, Guilmant … Il assure depuis 1978 la vice-présidence de l’Association Aristide Cavaillé-Coll ainsi que celle de rédacteur de la revue spécialisée La Flûte Harmonique. Il enseigne actuellement au Conservatoire de Plaisir (Yvelines) et comme chargé de cours à l’Université de Paris-Sorbonne (UFR de Musique et Musicologie).
Dimanche 21 août 2016, 18 heures
Yanka HEKIMOVA
Bulgarie, Paris
Née à Sofia, Yanka Hékimova débute comme pianiste. Très jeune, elle se familiarise avec la scène lors de récitals et concerts avec orchestre dans les plus grandes salles de sa ville natale.
Après de brillantes études en orgue et en piano au Conservatoire de Moscou, elle s'installe à Paris et se consacre à la carrière de concertiste.
Invitée de prestigieux festivals, ses concerts ont été diffusés par les chaînes de radio et de télévision en Europe, Amérique et Asie.
Yanka Hékimova a réalisé de nombreuses transcriptions d'oeuvres orchestrales ou pour piano de Vivaldi, Haendel, Mozart, Liszt, Wagner, Saint-Saëns, Tchaïkovski, Ravel.
En 1998, en collaboration avec la Ville de Paris, le soutien de la Fondation Hippocrène et d'ARGOS, Yanka Hékimova a imaginé et créé une série de concerts-spectacles pour enfants ; accueillie avec enthousiasme par le jeune public, cette initiative est depuis reconduite chaque année.
Yanka Hékimova a enregistré plusieurs CD, dont deux aux grandes orgues de Saint-Eustache où figurent sa transcription de la Symphonie "Jupiter" de Mozart et des oeuvres originales du répertoire organistique.
Publiée par Universal, la version "live" des Danses Symphoniques de Rachmaninoff que Yanka Hékimova interprète avec Jean Guillou, auteur de la transcription pour deux organistes, a reçu les éloges des critiques du Monde de la Musique, de Répertoire et de Diapason.
Plus récemment est parue l'Intégrale des Sonates en Trio de Jean-Sébastien Bach en 2 CD, enregistrée à l'orgue de la Tonhalle de Zürich.
A l'occasion de la restauration de l'orgue de Saint-Gabriel à Paris, Yanka Hékimova a enregistré un CD comportant des oeuvres de Purcell, J.S. Bach, Mozart, Schumann, Franck et Vierne.
Yanka HEKIMOVA
Bulgarie, Paris
Née à Sofia, Yanka Hékimova débute comme pianiste. Très jeune, elle se familiarise avec la scène lors de récitals et concerts avec orchestre dans les plus grandes salles de sa ville natale.
Après de brillantes études en orgue et en piano au Conservatoire de Moscou, elle s'installe à Paris et se consacre à la carrière de concertiste.
Invitée de prestigieux festivals, ses concerts ont été diffusés par les chaînes de radio et de télévision en Europe, Amérique et Asie.
Yanka Hékimova a réalisé de nombreuses transcriptions d'oeuvres orchestrales ou pour piano de Vivaldi, Haendel, Mozart, Liszt, Wagner, Saint-Saëns, Tchaïkovski, Ravel.
En 1998, en collaboration avec la Ville de Paris, le soutien de la Fondation Hippocrène et d'ARGOS, Yanka Hékimova a imaginé et créé une série de concerts-spectacles pour enfants ; accueillie avec enthousiasme par le jeune public, cette initiative est depuis reconduite chaque année.
Yanka Hékimova a enregistré plusieurs CD, dont deux aux grandes orgues de Saint-Eustache où figurent sa transcription de la Symphonie "Jupiter" de Mozart et des oeuvres originales du répertoire organistique.
Publiée par Universal, la version "live" des Danses Symphoniques de Rachmaninoff que Yanka Hékimova interprète avec Jean Guillou, auteur de la transcription pour deux organistes, a reçu les éloges des critiques du Monde de la Musique, de Répertoire et de Diapason.
Plus récemment est parue l'Intégrale des Sonates en Trio de Jean-Sébastien Bach en 2 CD, enregistrée à l'orgue de la Tonhalle de Zürich.
A l'occasion de la restauration de l'orgue de Saint-Gabriel à Paris, Yanka Hékimova a enregistré un CD comportant des oeuvres de Purcell, J.S. Bach, Mozart, Schumann, Franck et Vierne.
Dimanche 18 Septembre 2016 18 heures
(Journées du Patrimoine)
Vincent DUBOIS
Directeur du Conservatoire et de l’Académie supérieure de musique de Strasbourg depuis 2012, Vincent Dubois est avant tout l’un des plus brillants organistes de la nouvelle génération. Il donne un premier récital à Musica.
Lauréat à 22 ans des concours internationaux de Calgary au Canada et Xavier Darasse à Toulouse, après avoir obtenu cinq premiers prix au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Vincent Dubois poursuit une carrière de soliste qui l’a mené d’Europe en Amérique du Nord et en Asie/Pacifique, invité par les plus prestigieux orchestres (dont les philharmoniques de Los Angeles, Philadelphie ou Hong Kong). En 1996, âgé de 16 ans seulement, il est titulaire des orgues de la Cathédrale de Saint-Brieuc, puis en 2001 de celles de la Cathédrale de Soissons.
Vincent Dubois a été nommé en janvier organiste titulaire du grand orgue de Notre-Dame de Paris.
(Journées du Patrimoine)
Vincent DUBOIS
Directeur du Conservatoire et de l’Académie supérieure de musique de Strasbourg depuis 2012, Vincent Dubois est avant tout l’un des plus brillants organistes de la nouvelle génération. Il donne un premier récital à Musica.
Lauréat à 22 ans des concours internationaux de Calgary au Canada et Xavier Darasse à Toulouse, après avoir obtenu cinq premiers prix au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Vincent Dubois poursuit une carrière de soliste qui l’a mené d’Europe en Amérique du Nord et en Asie/Pacifique, invité par les plus prestigieux orchestres (dont les philharmoniques de Los Angeles, Philadelphie ou Hong Kong). En 1996, âgé de 16 ans seulement, il est titulaire des orgues de la Cathédrale de Saint-Brieuc, puis en 2001 de celles de la Cathédrale de Soissons.
Vincent Dubois a été nommé en janvier organiste titulaire du grand orgue de Notre-Dame de Paris.